| Titre : | Suor | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | Jorge Amado, Auteur ; Alice Raillard, Traducteur | | Editeur : | Paris : Gallimard | | Année de publication : | 1991 | | Collection : | Folio num. 2314 | | Importance : | 189 p. | | Présentation : | ill. de couverture en couleurs | | Format : | 18 cm | | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-07-038426-6 | | Note générale : | En plein coeur de la vieille Bahia, une ancienne bâtisse coloniale, au Nl 68 de la Montée-du-Pelourinho. Quatre étages. Le bistrot de Fernandes sur le devant. Dans les cent seize chambres, plus de six cents personnes, sans compter les rats. Isaac, dona Risoleta, la douce Linda, le Noir Henrique, Arthur dont la machine a broyé les deux bras, l'agitateur Alvaro Lima... c'est tout un monde prétendu sans hygiène et sans morale que l'auteur met en scène dans ce seul lieu qui évoque l'arène du théâtre antique et où s'élevait autrefois le piloris destiné aux esclaves. Un monde malade, révolté, misérable, qui sue de la suor des opprimés, dégage une odeur de chambre de défunt, mais qui aime et reste la vitalité même, et saura peut-être un jour bouleverser sa condition, pourant la plus désespérée. | | Langues : | (Fre) Langues originales : (Por) |
Suor [texte imprimé] / Jorge Amado, Auteur ; Alice Raillard, Traducteur . - Paris : Gallimard, 1991 . - 189 p. : ill. de couverture en couleurs ; 18 cm. - ( Folio; 2314) . ISBN : 978-2-07-038426-6 En plein coeur de la vieille Bahia, une ancienne bâtisse coloniale, au Nl 68 de la Montée-du-Pelourinho. Quatre étages. Le bistrot de Fernandes sur le devant. Dans les cent seize chambres, plus de six cents personnes, sans compter les rats. Isaac, dona Risoleta, la douce Linda, le Noir Henrique, Arthur dont la machine a broyé les deux bras, l'agitateur Alvaro Lima... c'est tout un monde prétendu sans hygiène et sans morale que l'auteur met en scène dans ce seul lieu qui évoque l'arène du théâtre antique et où s'élevait autrefois le piloris destiné aux esclaves. Un monde malade, révolté, misérable, qui sue de la suor des opprimés, dégage une odeur de chambre de défunt, mais qui aime et reste la vitalité même, et saura peut-être un jour bouleverser sa condition, pourant la plus désespérée. Langues : ( Fre) Langues originales : ( Por) |  |
Suor / Jorge Amado
